L’Unité de Préparation des Anticancéreux (UPA) du Centre Hospitalier de Castelluccio fabrique annuellement 10 000 chimiothérapies anticancéreuses injectables sur 2 isolateurs sous le contrôle d’un pharmacien et de 3 agents. En mars 2021, l'hôpital s’est donc doté d’un dispositif de pointe, le Drugcam, qui contrôle la fabrication des chimiothérapies et permet d’éviter les erreurs de dosage pour ces traitements.
Guider le préparateur dans son processus de fabrication et permettre au pharmacien de contrôler et libérer la préparation, dans une optique de sécurisation accrue du processus, voici ce que le système Drugcam permettra de faire au Centre Hospitalier de Castellucio qui grâce à ces équipements bénéficie d’une solution informatique innovante permettant le contrôle de la fabrication des préparations d’onco-hématologie par reconnaissance vidéo.
Après analyse par traitement d'images des étapes critiques (flacons, seringues, étiquettes, solvants, poches) un contrôle vidéo assistée (il arrête le préparateur en cours de fabrication s'il détecte une erreur), facilite la libération pharmaceutique. L'enregistrement vidéo de la préparation est archivé en cas de problèmes médico-légaux.
Drugcam remplace le double contrôle humain au cours du processus de préparation. Le préparateur affecté au double contrôle peut être alors, réaffecté vers d’autres tâches dans la salle blanche.
Casteluccio est donc le premier établissement de Corse à disposer de cette nouvelle méthode de contrôle libératoire, notamment utilisée en production dans un Centre de référence comme l’IPC depuis 2017. Le coût de cet équipement d’un montant de 78.800 € a été financé par l’Agence Régionale de Santé sur le plan «Investir pour l’Hôpital», enveloppe destinée aux investissements courants des Etablissements de Santé
Après analyse par traitement d'images des étapes critiques (flacons, seringues, étiquettes, solvants, poches) un contrôle vidéo assistée (il arrête le préparateur en cours de fabrication s'il détecte une erreur), facilite la libération pharmaceutique. L'enregistrement vidéo de la préparation est archivé en cas de problèmes médico-légaux.
Drugcam remplace le double contrôle humain au cours du processus de préparation. Le préparateur affecté au double contrôle peut être alors, réaffecté vers d’autres tâches dans la salle blanche.
Casteluccio est donc le premier établissement de Corse à disposer de cette nouvelle méthode de contrôle libératoire, notamment utilisée en production dans un Centre de référence comme l’IPC depuis 2017. Le coût de cet équipement d’un montant de 78.800 € a été financé par l’Agence Régionale de Santé sur le plan «Investir pour l’Hôpital», enveloppe destinée aux investissements courants des Etablissements de Santé